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Carte d'anniversaire pop-up

Filed Under (,,, ) by Anonyme on dimanche 30 novembre 2008

Posted at : 18:35

Voici une réalisation de carte d'anniversaire pop-up.

Etape 1: Le pop-up
Le mieux je trouve, est de commencer par le pop-up. Ainsi le positionnement des décors annexes est plus facile.
Pour le détail de la réalisation du pop-up, se référer à l'article suivant.
J'ai ensuite découpé le tour de la partie pop-up pour qu'elle ressorte sur le fond marron que j'ai choisi.
Etape 2: Brouillon
J'ai préféré calligraphier au brouillon mon texte. Une fois découpé, cela permet d'affiner l'endroit où l'on souhaite réaliser la calligraphie
Etape 3: Calligraphie du texteAprès avoir tracé mes lignes guides, j'ai calligraphié mon texte.Pour remplir le bas de la carte, j'ai calligraphié une petite phrase supplémentaire. La petite goutte en trop sera traitée plus tard.
Etape 4: Décors et ornements
J'ai pensé à évider une partie de la carte en forme de feuille chêne (pour la force et la longévité). Je l'ai d'abord tracée au crayon à papier.Puis j'ai évidé le dessin au cutter.Il me restait la tâche d'encre à camoufler. Je pouvais évider à nouveau mais j'ai préféré dessiner à l'encre une petite feuille de chêne. J'ai terminé les décors en rajoutant un paraphe pour habiller un peu plus la carte.
Etape 5: Collage
Il ne reste plus qu'à coller une partie du pop-up. J'ai choisi de ne pas coller la totalité pour donner un petit effet et aussi parce que, par expérience, le papier canson est trop épais pour rester en place si on le colle sur la totalité. Il a tendance à se décoller au centre quand on ouvre la carte.
J'ai donc mis de la colle sur le haut de l'intérieur des lettres, d'un seul côté de la pliure centrale.

Etape 6: Emballer, c'est pesé!
il n'y a pas d'autre étape, il suffit de regarder le résultat et de donner la carte à son destinataire!

Astuce: Carte pop-up nom

Filed Under (,, ) by Anonyme on lundi 17 novembre 2008

Posted at : 22:47

Les cartes pop-up sont sympathiques mais souvent dans le commerce, on ne trouve jamais son bonheur... surtout pour un nom précis.

Voici un exemple de carte que j'ai réalisé pour ma grand-mère (lien vers la carte finale ultérieurement), et les différentes étapes nécessaires à la réalisation du pop-up avec des mots.

Etape 1: Lignes guides
Commencer par repérer le milieu de la feuille, ce sera la ligne de pliure de la carte. Tracer en-dessous la ligne de base de vos lettres. La distance entre la ligne de pliure (milieu) et la base est à noter. Elle sera identique à la distance entre la hauteur d'une lettre et la ligne repère pour les "fixations" des lettres. Tracer la(les) ligne(s) correspondant à la hauteur de vos lettres (dans cette exemple il n'y en a que 2, celle des minuscules et celle de la majuscule). Tracer enfin les lignes pour les fixations, la distance entre la hauteur d'une lettre et sa fixation est égale à la distance entre la ligne de base et la pliure.
Reprise de la photo, dans l'ordre, de haut en bas:
__________ ligne de fixation des majuscules
2 cm
__________ ligne de la hauteur des majuscules
1 cm
__________ ligne de fixation des minuscules
2 cm
__________ ligne de la hauteur des minuscules
1 cm
__________ ligne du milieu de la carte (pliure)
2 cm
__________ ligne de base des lettres

Etape 2: Esquisse des lettres
Ensuite, tracer l'esquisse de vos lettres au crayon à papier.

Etape 3: Découpe des lettres
Découper, les lettres en veillant à leur laisser leur base attachée ainsi que leur fixation

Etape 4: Pliage de la carte (Etape la plus délicate!!!)
Aider vous de mon astuce pour le pliage.


Etape 5: Mise en valeur
Colorier les lettres pour les faire ressortir.
Dans mon exemple, j'ai souhaité mettre en valeur la majuscule. Les autres lettres sont de la couleur du 2e papier de couleur. Astuce: glisser un papier brouillon entre les lettres et le fond de la carte, pour éviter de colorier le fond.


Etape 6: Finaliser
Gommer les traits inutiles et admirer le résultat!
Terminer la carte en collant le "fond" APRES avoir mis les décors supplémentaires. Le fond peut être de la même couleur ou non. J'ai pensé aussi, dans le cas où le fond sera de la même couleur, que l'on peut doubler en largeur la taille de la carte afin d'avoir le fond directement sans collage... Tout dépend de l'effet souhaité!

Tentative d'enterrer le passé

Filed Under (,, ) by Anonyme on mercredi 12 novembre 2008

Posted at : 14:56

Depuis quelques temps je réalise ce qui me mine. J'espère qu'en écrivant ces mots, je me libérerai de ma peine, de mes souffrances, de mon passé. Ce n'est pas que je veux effacer ou oublier le passé, mais juste le laisser là où il est, là où il appartient... au passé. Cet article est en écho à un précédent.

Ma dernière rupture me hante encore parfois, malgré tout le bonheur et la joie que m'apporte celui que j'aime aujourd'hui. J'ai déjà progressé, je sais que je n'ai rien à me reprocher, que je peux vivre mon bonheur sans honte. Mais parfois, la peine me rattrape et jusqu'à aujourd'hui je ne savais pas son nom si l'on puit dire.

Je sais aujourd'hui d'où elle vient. Je m'étais trompée dans ce blog, ce n'est pas à la 3e année que notre histoire n'a pas su s'en remettre, mais la 4e. Et encore, je suis sure que ce n'est pas le temps qui est responsable. Le responsable c'est la proximité, la vie à deux. Notre couple a sombré parce que nous n'étions pas faits pour vivre ensembles bien que l'on s'entendait bien. Mais cela je le sais depuis un moment, et ma douleur est étrangère à cet aspect.

Ma douleur vient de la rupture, de la période douloureuse que j'ai passée avant, pendant et après. D'abord j'ai compris que ça n'allait pas et ne pouvait pas continuer, je n'étais pas heureuse. C'est douloureux de douter et de vivre cela après 4 ans. J'ai aussi pris en compte le fait que de ne pas vouloir d'enfants allait être fatal. J'ai senti que ce n'était pas une question de moment, contrairement à ce que tout le monde pouvait me dire, ou de trouver le bon père, mais juste moi qui ne veut pas, qui ne serait jamais prête, qui n'est pas faite pour ce rôle. Quand je l'ai compris j'ai eu droit à un premier dilemme:
  • penser que j'ai tort et que c'est malgré tout une question d'être heureuse
  • risquer de dire que jamais je ne voudrais

Dur choix. Si je demandais à être heureuse en premier afin d'être encore plus sure de moi pour un enfant, déjà je n'aurais peut-être pas eu la réponse ou voir une réponse qui me confortait dans mon non-désir, et peut-être d'autres problèmes à affronter pendant un moment. Si je choisissais de parler de mon non-désir avant mon bonheur, j'allais peut-être justement passer à côté du bonheur... tout gâcher! Mais c'était peut-être aussi une facilité, ne pas avoir à choisir de partir, se faire quitter et avoir le "beau rôle"... alors que naissait des sentiments pour un autre, qui ne faisait que mettre en relief mon malaise.

Après m'être torturée, j'ai choisi la 2e option. J'ai tout risqué car on ne peut pas demander à quelqu'un de faire des efforts si on est quasi certain de ne pas pouvoir en faire soi-même après. Après lui avoir annoncé sous forme de question, embuée de larmes, j'ai dû attendre une semaine pendant qu'il était dans le Sud. J'ai profité de l'opportunité de la distance pour qu'il puisse réfléchir sereinement. Ce fut dur, pas de questions, pas d'appel, pas de nouvelles. Quand je lui ai dit, tout ce qu'il m'a répondu ce fut "pfff tu ne pouvais pas le dire avant?". Peut-être que j'aurais dû ou pu... peut-être que lui aussi aurais dû ou pu me poser plus de questions avant si c'était très important!

Au bout de quelques jours, j'ai eu à l'appeler pour l'appartement, une conversation froide sans grand intérêt. J'ai lutté pour ne rien dire, ne pas poser LA question qui me brûlait "Quel est l'avenir de notre couple?". Attendre encore... Il m'a toujours dit que dans des moments comme ça il fallait attendre qu'il revienne, alors j'ai attendu, seule avec ma souffrance et d'autres pensées... au final j'attendais quoi? j'espérais quoi? A part une réponse, je n'en savais rien. La séparation me montrait combien j'étais malheureuse dans mon couple, mais de là à gâcher 4 ans?

Le samedi, la veille de son retour fut le plus terrible. J'étais comme prisonière de cette attente mais je me risquais à un SMS pour savoir quand il rentrerait. Pas de réponse. Le soir je dînais chez une amie et son copain. Une amie qui avait peur que je reste avec lui, qui voyait depuis plus longtemps que moi mon malheur, qui m'a torturée à sa manière. Elle ne voulait pas mon malheur sur le long terme donc elle a appuyé où cela faisait mal... et ça a fait mal, très mal. Alors ce soir-là, j'étais au bout du rouleau. Une semaine d'attente sans nouvelles ou questions ou réponses... Une semaine de torture. Toujours pas de SMS, je préssentais la réponse, c'est-à-dire la fin de mon couple.

Le lendemain après-midi toujours pas de SMS... l'attente encore. En début de soirée, un SMS tendu. Il avait perdu ses clefs et me donnait son heure d'arrivée, vers minuit, froidement. En effet, vu la perte, les clefs de partout: bureau, maison, etc..., il y a de quoi être tendu et énervé. Attendre encore avec moins d'espoir.
Quand il a sonné pour que j'ouvre, j'ai pu entendre tout cela, froid, énervé, distant. J'ai ouvert la porte et pas un mot... comme d'habitude quand il rentre... ai-je pensé. C'est horrible de penser cela, j'en avais conscience ce soir-là, ça rajoutait à mon malaise. Il était furieux et quelque part, la différence dans son comportement était si subtile à un soir ordinaire! Alors comme d'habitude, je savais qu'il irait poser ses affaires dans le bureau. Attendre encore! Si près du but, c'est si dur, mais c'est tellement important à la fois! Quand il a quitté le bureau pour se diriger vers la cuisine, je l'ai suivi et j'ai osé aborder LA question. Je n'ai pas été déçue de la réponse... ou peut-être que si finalement, terriblement déçue...

Ce furent ses mots "Puisque tu veux savoir, considère que nous sommes colocataires". Pas de questions, pas d'explications, pas de reproches. Juste ces mots durs avec un regard pire encore, noir et haineux, qui m'a fait peur. En y repensant, je ne peux que baisser les yeux et détourner le regard.
Suite à ses mots, mon coeur s'est défendu à sa manière, il a bloqué toutes mes émotions. Je ne ressentais rien, ni tristesse, ni colère, ni haine... rien. J'étais presque sereine mais pas vraiment, en tout cas pas malheureuse, pas de larmes, pas d'émotions.
J'ai passé une horrible nuit, à dormir dans le même lit que mon colocataire. J'ai dormi un peu puis je me suis réveillée à 3h. A 5h je décidais de partir en voiture chez mes parents, déposer quelques affaires. Ecrire une lettre comme quoi j'avais besoin de temps pour appréhender cette nouvelle étape de notre relation, pour devenir une colocataire.

Une amie commune m'a incité à lui parler le soir, le lundi donc. Pas de véritable échange, pas d'enguelade non plus, mais des larmes de mon côté. Je n'arrivais pas à dire quoi que ce soit et ce qu'il a pu me dire ne comportait pas de questions, juste son point de vue... le mien ne semblait pas avoir d'importance.

Voilà ma rupture... après 4 ans et demi (à un mois près). Ce qui me fait souffrir c'est juste que... ça se soit passé sans qu'il cherche à comprendre quoi que ce soit... ne serait-ce qu'une question "Es-tu sure?"... enfin si je l'ai eu celle-là, sous une autre forme. Si tu ne changes pas d'avis pas de revirement possible... comme si cela se commandait... Il a apporté ses réponses. Soit tu l'as toujours pensé sans jamais me le dire, soit je ne suis pas le bon... peu importe semblait-il dire. Oui comme il le pensait, la première idée est la bonne, c'était sous-jacent dès le départ... à un moment j'ai crû avoir réglé la question et j'ai eu tort. Mais un couple ça se fait à deux, lui aussi a eu tort de ne pas préciser à quel point c'était vital si lui était si sûr!

Une rupture à l'image de notre couple? Peut-être. Mais passer si vite de tout à rien, sans lutte... enfin lutte... oui si... laisse-t-on partir quelqu'un sans chercher à comprendre pourquoi on en est arrivé là? Si aucun compromis n'est possible? Je comprends qu'il se soit senti trahi mais... de là à tirer un trait sur 4 ans sans rien tenter?

J'admets, qu'ai-je tenté? Rien... mais j'avais l'impression d'avoir un mur en face. Non je ne pouvais pas changer d'avis et je ne l'ai toujours pas fait... et il m'avait bien fait comprendre que la clef de tout c'était mon avis sur ma maternité. C'était si dur de me sentir rejetée après 4 ans par celui qui a toutes ses chances sans rien tenter et de voir un autre tenter tout pour avoir un début d'amour... Drôle de paradoxe non?

J'en verse encore des larmes en y repensant et j'aimerai que cette souffrance cesse. Aussi je mets en ligne cette histoire, mon histoire, avec l'espoir de remettre le passé à sa place, aussi douloureux soit-il. Je veux n'avoir que des larmes de bonheur pour mon histoire présente et l'avenir.

Le prix à payer pour de la chance!

Filed Under (,, ) by Anonyme on

Posted at : 11:49

Je vais galérer toute la journée!

Un client a un gros souci sur un produit que je connais pas bien du tout, que des tickets TRES urgent, je suis seule au support, même pas le temps d'aller aux toilettes... pfff galère galère... C'est le prix à payer pour avoir eu le cul bordé de nouilles ce matin!

Que s'est-il passé ce matin? J'ai juste oublié mon sac à main dans le RER, un détail! Mais quelle tête en l'air je suis!

Dans le bus, en arrivant à l'arrêt je percute... MON SAC! Il y a tout dedans! Clefs, carte bancaire, chéquier, porte-feuille, badge de ma société, ... TOUT sauf mes téléphones portables.
Je repense à mes actions et je réalise que je l'ai oublié dans le train... Je file au boulot, demande à un collègue qui arrive toujours tôt de m'amener à la gare illico, chance il peut et j'arrive avant le départ du train que j'ai pris ce matin. (Oui le train que je prends a son terminus où je m'arrête, stationne 25 min et repart) Je vois des contrôleurs je les préviens, je cours monter dans le wagon que j'ai quitté, je passe inquiète entre les rangées... pas de sac, pas de sac... AH LE VOILA! Je sors du train et je l'ouvre pour voir son état... intact, tout est dedans! Je respire plus librement malgré ma gorge attaquée par le froid et l'essouflement. J'ai transpiré pour la journée!
Je recroise les contrôleurs "C'est bon!" et je retourne au boulot.

Chance! Mais je ne jouerai pas au loto! J'ai cramé tout mon capital chance de la semaine!
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