Tentative d'enterrer le passé
Filed Under (coeur,prise de tête,style-tbm ) by Anonyme on mercredi 12 novembre 2008
Posted at : 14:56
Depuis quelques temps je réalise ce qui me mine. J'espère qu'en écrivant ces mots, je me libérerai de ma peine, de mes souffrances, de mon passé. Ce n'est pas que je veux effacer ou oublier le passé, mais juste le laisser là où il est, là où il appartient... au passé. Cet article est en écho à un précédent.
Ma dernière rupture me hante encore parfois, malgré tout le bonheur et la joie que m'apporte celui que j'aime aujourd'hui. J'ai déjà progressé, je sais que je n'ai rien à me reprocher, que je peux vivre mon bonheur sans honte. Mais parfois, la peine me rattrape et jusqu'à aujourd'hui je ne savais pas son nom si l'on puit dire.
Je sais aujourd'hui d'où elle vient. Je m'étais trompée dans ce blog, ce n'est pas à la 3e année que notre histoire n'a pas su s'en remettre, mais la 4e. Et encore, je suis sure que ce n'est pas le temps qui est responsable. Le responsable c'est la proximité, la vie à deux. Notre couple a sombré parce que nous n'étions pas faits pour vivre ensembles bien que l'on s'entendait bien. Mais cela je le sais depuis un moment, et ma douleur est étrangère à cet aspect.
Ma douleur vient de la rupture, de la période douloureuse que j'ai passée avant, pendant et après. D'abord j'ai compris que ça n'allait pas et ne pouvait pas continuer, je n'étais pas heureuse. C'est douloureux de douter et de vivre cela après 4 ans. J'ai aussi pris en compte le fait que de ne pas vouloir d'enfants allait être fatal. J'ai senti que ce n'était pas une question de moment, contrairement à ce que tout le monde pouvait me dire, ou de trouver le bon père, mais juste moi qui ne veut pas, qui ne serait jamais prête, qui n'est pas faite pour ce rôle. Quand je l'ai compris j'ai eu droit à un premier dilemme:
Dur choix. Si je demandais à être heureuse en premier afin d'être encore plus sure de moi pour un enfant, déjà je n'aurais peut-être pas eu la réponse ou voir une réponse qui me confortait dans mon non-désir, et peut-être d'autres problèmes à affronter pendant un moment. Si je choisissais de parler de mon non-désir avant mon bonheur, j'allais peut-être justement passer à côté du bonheur... tout gâcher! Mais c'était peut-être aussi une facilité, ne pas avoir à choisir de partir, se faire quitter et avoir le "beau rôle"... alors que naissait des sentiments pour un autre, qui ne faisait que mettre en relief mon malaise.
Après m'être torturée, j'ai choisi la 2e option. J'ai tout risqué car on ne peut pas demander à quelqu'un de faire des efforts si on est quasi certain de ne pas pouvoir en faire soi-même après. Après lui avoir annoncé sous forme de question, embuée de larmes, j'ai dû attendre une semaine pendant qu'il était dans le Sud. J'ai profité de l'opportunité de la distance pour qu'il puisse réfléchir sereinement. Ce fut dur, pas de questions, pas d'appel, pas de nouvelles. Quand je lui ai dit, tout ce qu'il m'a répondu ce fut "pfff tu ne pouvais pas le dire avant?". Peut-être que j'aurais dû ou pu... peut-être que lui aussi aurais dû ou pu me poser plus de questions avant si c'était très important!
Au bout de quelques jours, j'ai eu à l'appeler pour l'appartement, une conversation froide sans grand intérêt. J'ai lutté pour ne rien dire, ne pas poser LA question qui me brûlait "Quel est l'avenir de notre couple?". Attendre encore... Il m'a toujours dit que dans des moments comme ça il fallait attendre qu'il revienne, alors j'ai attendu, seule avec ma souffrance et d'autres pensées... au final j'attendais quoi? j'espérais quoi? A part une réponse, je n'en savais rien. La séparation me montrait combien j'étais malheureuse dans mon couple, mais de là à gâcher 4 ans?
Le samedi, la veille de son retour fut le plus terrible. J'étais comme prisonière de cette attente mais je me risquais à un SMS pour savoir quand il rentrerait. Pas de réponse. Le soir je dînais chez une amie et son copain. Une amie qui avait peur que je reste avec lui, qui voyait depuis plus longtemps que moi mon malheur, qui m'a torturée à sa manière. Elle ne voulait pas mon malheur sur le long terme donc elle a appuyé où cela faisait mal... et ça a fait mal, très mal. Alors ce soir-là, j'étais au bout du rouleau. Une semaine d'attente sans nouvelles ou questions ou réponses... Une semaine de torture. Toujours pas de SMS, je préssentais la réponse, c'est-à-dire la fin de mon couple.
Le lendemain après-midi toujours pas de SMS... l'attente encore. En début de soirée, un SMS tendu. Il avait perdu ses clefs et me donnait son heure d'arrivée, vers minuit, froidement. En effet, vu la perte, les clefs de partout: bureau, maison, etc..., il y a de quoi être tendu et énervé. Attendre encore avec moins d'espoir.
Quand il a sonné pour que j'ouvre, j'ai pu entendre tout cela, froid, énervé, distant. J'ai ouvert la porte et pas un mot... comme d'habitude quand il rentre... ai-je pensé. C'est horrible de penser cela, j'en avais conscience ce soir-là, ça rajoutait à mon malaise. Il était furieux et quelque part, la différence dans son comportement était si subtile à un soir ordinaire! Alors comme d'habitude, je savais qu'il irait poser ses affaires dans le bureau. Attendre encore! Si près du but, c'est si dur, mais c'est tellement important à la fois! Quand il a quitté le bureau pour se diriger vers la cuisine, je l'ai suivi et j'ai osé aborder LA question. Je n'ai pas été déçue de la réponse... ou peut-être que si finalement, terriblement déçue...
Ce furent ses mots "Puisque tu veux savoir, considère que nous sommes colocataires". Pas de questions, pas d'explications, pas de reproches. Juste ces mots durs avec un regard pire encore, noir et haineux, qui m'a fait peur. En y repensant, je ne peux que baisser les yeux et détourner le regard.
Suite à ses mots, mon coeur s'est défendu à sa manière, il a bloqué toutes mes émotions. Je ne ressentais rien, ni tristesse, ni colère, ni haine... rien. J'étais presque sereine mais pas vraiment, en tout cas pas malheureuse, pas de larmes, pas d'émotions.
J'ai passé une horrible nuit, à dormir dans le même lit que mon colocataire. J'ai dormi un peu puis je me suis réveillée à 3h. A 5h je décidais de partir en voiture chez mes parents, déposer quelques affaires. Ecrire une lettre comme quoi j'avais besoin de temps pour appréhender cette nouvelle étape de notre relation, pour devenir une colocataire.
Une amie commune m'a incité à lui parler le soir, le lundi donc. Pas de véritable échange, pas d'enguelade non plus, mais des larmes de mon côté. Je n'arrivais pas à dire quoi que ce soit et ce qu'il a pu me dire ne comportait pas de questions, juste son point de vue... le mien ne semblait pas avoir d'importance.
Voilà ma rupture... après 4 ans et demi (à un mois près). Ce qui me fait souffrir c'est juste que... ça se soit passé sans qu'il cherche à comprendre quoi que ce soit... ne serait-ce qu'une question "Es-tu sure?"... enfin si je l'ai eu celle-là, sous une autre forme. Si tu ne changes pas d'avis pas de revirement possible... comme si cela se commandait... Il a apporté ses réponses. Soit tu l'as toujours pensé sans jamais me le dire, soit je ne suis pas le bon... peu importe semblait-il dire. Oui comme il le pensait, la première idée est la bonne, c'était sous-jacent dès le départ... à un moment j'ai crû avoir réglé la question et j'ai eu tort. Mais un couple ça se fait à deux, lui aussi a eu tort de ne pas préciser à quel point c'était vital si lui était si sûr!
Une rupture à l'image de notre couple? Peut-être. Mais passer si vite de tout à rien, sans lutte... enfin lutte... oui si... laisse-t-on partir quelqu'un sans chercher à comprendre pourquoi on en est arrivé là? Si aucun compromis n'est possible? Je comprends qu'il se soit senti trahi mais... de là à tirer un trait sur 4 ans sans rien tenter?
J'admets, qu'ai-je tenté? Rien... mais j'avais l'impression d'avoir un mur en face. Non je ne pouvais pas changer d'avis et je ne l'ai toujours pas fait... et il m'avait bien fait comprendre que la clef de tout c'était mon avis sur ma maternité. C'était si dur de me sentir rejetée après 4 ans par celui qui a toutes ses chances sans rien tenter et de voir un autre tenter tout pour avoir un début d'amour... Drôle de paradoxe non?
J'en verse encore des larmes en y repensant et j'aimerai que cette souffrance cesse. Aussi je mets en ligne cette histoire, mon histoire, avec l'espoir de remettre le passé à sa place, aussi douloureux soit-il. Je veux n'avoir que des larmes de bonheur pour mon histoire présente et l'avenir.
Ma dernière rupture me hante encore parfois, malgré tout le bonheur et la joie que m'apporte celui que j'aime aujourd'hui. J'ai déjà progressé, je sais que je n'ai rien à me reprocher, que je peux vivre mon bonheur sans honte. Mais parfois, la peine me rattrape et jusqu'à aujourd'hui je ne savais pas son nom si l'on puit dire.
Je sais aujourd'hui d'où elle vient. Je m'étais trompée dans ce blog, ce n'est pas à la 3e année que notre histoire n'a pas su s'en remettre, mais la 4e. Et encore, je suis sure que ce n'est pas le temps qui est responsable. Le responsable c'est la proximité, la vie à deux. Notre couple a sombré parce que nous n'étions pas faits pour vivre ensembles bien que l'on s'entendait bien. Mais cela je le sais depuis un moment, et ma douleur est étrangère à cet aspect.
Ma douleur vient de la rupture, de la période douloureuse que j'ai passée avant, pendant et après. D'abord j'ai compris que ça n'allait pas et ne pouvait pas continuer, je n'étais pas heureuse. C'est douloureux de douter et de vivre cela après 4 ans. J'ai aussi pris en compte le fait que de ne pas vouloir d'enfants allait être fatal. J'ai senti que ce n'était pas une question de moment, contrairement à ce que tout le monde pouvait me dire, ou de trouver le bon père, mais juste moi qui ne veut pas, qui ne serait jamais prête, qui n'est pas faite pour ce rôle. Quand je l'ai compris j'ai eu droit à un premier dilemme:
- penser que j'ai tort et que c'est malgré tout une question d'être heureuse
- risquer de dire que jamais je ne voudrais
Dur choix. Si je demandais à être heureuse en premier afin d'être encore plus sure de moi pour un enfant, déjà je n'aurais peut-être pas eu la réponse ou voir une réponse qui me confortait dans mon non-désir, et peut-être d'autres problèmes à affronter pendant un moment. Si je choisissais de parler de mon non-désir avant mon bonheur, j'allais peut-être justement passer à côté du bonheur... tout gâcher! Mais c'était peut-être aussi une facilité, ne pas avoir à choisir de partir, se faire quitter et avoir le "beau rôle"... alors que naissait des sentiments pour un autre, qui ne faisait que mettre en relief mon malaise.
Après m'être torturée, j'ai choisi la 2e option. J'ai tout risqué car on ne peut pas demander à quelqu'un de faire des efforts si on est quasi certain de ne pas pouvoir en faire soi-même après. Après lui avoir annoncé sous forme de question, embuée de larmes, j'ai dû attendre une semaine pendant qu'il était dans le Sud. J'ai profité de l'opportunité de la distance pour qu'il puisse réfléchir sereinement. Ce fut dur, pas de questions, pas d'appel, pas de nouvelles. Quand je lui ai dit, tout ce qu'il m'a répondu ce fut "pfff tu ne pouvais pas le dire avant?". Peut-être que j'aurais dû ou pu... peut-être que lui aussi aurais dû ou pu me poser plus de questions avant si c'était très important!
Au bout de quelques jours, j'ai eu à l'appeler pour l'appartement, une conversation froide sans grand intérêt. J'ai lutté pour ne rien dire, ne pas poser LA question qui me brûlait "Quel est l'avenir de notre couple?". Attendre encore... Il m'a toujours dit que dans des moments comme ça il fallait attendre qu'il revienne, alors j'ai attendu, seule avec ma souffrance et d'autres pensées... au final j'attendais quoi? j'espérais quoi? A part une réponse, je n'en savais rien. La séparation me montrait combien j'étais malheureuse dans mon couple, mais de là à gâcher 4 ans?
Le samedi, la veille de son retour fut le plus terrible. J'étais comme prisonière de cette attente mais je me risquais à un SMS pour savoir quand il rentrerait. Pas de réponse. Le soir je dînais chez une amie et son copain. Une amie qui avait peur que je reste avec lui, qui voyait depuis plus longtemps que moi mon malheur, qui m'a torturée à sa manière. Elle ne voulait pas mon malheur sur le long terme donc elle a appuyé où cela faisait mal... et ça a fait mal, très mal. Alors ce soir-là, j'étais au bout du rouleau. Une semaine d'attente sans nouvelles ou questions ou réponses... Une semaine de torture. Toujours pas de SMS, je préssentais la réponse, c'est-à-dire la fin de mon couple.
Le lendemain après-midi toujours pas de SMS... l'attente encore. En début de soirée, un SMS tendu. Il avait perdu ses clefs et me donnait son heure d'arrivée, vers minuit, froidement. En effet, vu la perte, les clefs de partout: bureau, maison, etc..., il y a de quoi être tendu et énervé. Attendre encore avec moins d'espoir.
Quand il a sonné pour que j'ouvre, j'ai pu entendre tout cela, froid, énervé, distant. J'ai ouvert la porte et pas un mot... comme d'habitude quand il rentre... ai-je pensé. C'est horrible de penser cela, j'en avais conscience ce soir-là, ça rajoutait à mon malaise. Il était furieux et quelque part, la différence dans son comportement était si subtile à un soir ordinaire! Alors comme d'habitude, je savais qu'il irait poser ses affaires dans le bureau. Attendre encore! Si près du but, c'est si dur, mais c'est tellement important à la fois! Quand il a quitté le bureau pour se diriger vers la cuisine, je l'ai suivi et j'ai osé aborder LA question. Je n'ai pas été déçue de la réponse... ou peut-être que si finalement, terriblement déçue...
Ce furent ses mots "Puisque tu veux savoir, considère que nous sommes colocataires". Pas de questions, pas d'explications, pas de reproches. Juste ces mots durs avec un regard pire encore, noir et haineux, qui m'a fait peur. En y repensant, je ne peux que baisser les yeux et détourner le regard.
Suite à ses mots, mon coeur s'est défendu à sa manière, il a bloqué toutes mes émotions. Je ne ressentais rien, ni tristesse, ni colère, ni haine... rien. J'étais presque sereine mais pas vraiment, en tout cas pas malheureuse, pas de larmes, pas d'émotions.
J'ai passé une horrible nuit, à dormir dans le même lit que mon colocataire. J'ai dormi un peu puis je me suis réveillée à 3h. A 5h je décidais de partir en voiture chez mes parents, déposer quelques affaires. Ecrire une lettre comme quoi j'avais besoin de temps pour appréhender cette nouvelle étape de notre relation, pour devenir une colocataire.
Une amie commune m'a incité à lui parler le soir, le lundi donc. Pas de véritable échange, pas d'enguelade non plus, mais des larmes de mon côté. Je n'arrivais pas à dire quoi que ce soit et ce qu'il a pu me dire ne comportait pas de questions, juste son point de vue... le mien ne semblait pas avoir d'importance.
Voilà ma rupture... après 4 ans et demi (à un mois près). Ce qui me fait souffrir c'est juste que... ça se soit passé sans qu'il cherche à comprendre quoi que ce soit... ne serait-ce qu'une question "Es-tu sure?"... enfin si je l'ai eu celle-là, sous une autre forme. Si tu ne changes pas d'avis pas de revirement possible... comme si cela se commandait... Il a apporté ses réponses. Soit tu l'as toujours pensé sans jamais me le dire, soit je ne suis pas le bon... peu importe semblait-il dire. Oui comme il le pensait, la première idée est la bonne, c'était sous-jacent dès le départ... à un moment j'ai crû avoir réglé la question et j'ai eu tort. Mais un couple ça se fait à deux, lui aussi a eu tort de ne pas préciser à quel point c'était vital si lui était si sûr!
Une rupture à l'image de notre couple? Peut-être. Mais passer si vite de tout à rien, sans lutte... enfin lutte... oui si... laisse-t-on partir quelqu'un sans chercher à comprendre pourquoi on en est arrivé là? Si aucun compromis n'est possible? Je comprends qu'il se soit senti trahi mais... de là à tirer un trait sur 4 ans sans rien tenter?
J'admets, qu'ai-je tenté? Rien... mais j'avais l'impression d'avoir un mur en face. Non je ne pouvais pas changer d'avis et je ne l'ai toujours pas fait... et il m'avait bien fait comprendre que la clef de tout c'était mon avis sur ma maternité. C'était si dur de me sentir rejetée après 4 ans par celui qui a toutes ses chances sans rien tenter et de voir un autre tenter tout pour avoir un début d'amour... Drôle de paradoxe non?
J'en verse encore des larmes en y repensant et j'aimerai que cette souffrance cesse. Aussi je mets en ligne cette histoire, mon histoire, avec l'espoir de remettre le passé à sa place, aussi douloureux soit-il. Je veux n'avoir que des larmes de bonheur pour mon histoire présente et l'avenir.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
7 commentaires:
tu as dû beaucoup souffrir de cette histoire! cela se ressent plus que jamais à travers ce texte mais je pense encore et toujours que vous avez bien fait de vous séparer! l'important c'est de trouver la personne idéale pour partager ta vie et je pense que françois est cette personne car je ne t'ai jamais vu aussi épanouie en couple! c'est surement un signe! donc prends ton temps pour te remettre de tes souffrances du passé mais profite de ton histoire actuelle! ce serait dommage que françois en souffre aussi
élodie
Je suis d'accord avec Elodie. Prends ton temps pour te remettre de ton passé.
Et j'irai même jusqu'à te conseiller de te de reposer un peu physiquement, moralement et, si nécessaire, sur les épaules de ton homme. Je pense, à tort ou à raison ?, qu'une telle blessure se referme plus rapidement si on a quelqu'un avec qui la partager.
Puisque ce vielle article ressort sur ton blog, j'espère pour toi que tu as eu tes réponses depuis.
Euh désolé, mais je ne peux pas corriger les fautes.
Oui merci. C'est plutôt derrière moi. Il me reste juste l'angoisse d'acheter et de déménager!
J'espère que tu n'as pas de regrets de ton côté.
Ne soit pas angoisser, cela ne sert à rien sinon après tu ne tentes plus rien. Il faut savoir tenter pour avancer.
En plus, ça fait déjà longtemps que tu vis avec ton homme sous le même toit. S'il devait y avoir des pbs, tu le serais déjà depuis longtemps. Donc ca se passera bien, tu changeras juste de toit. ^_^
Pour les regrets de mon côté, on en a déjà parler, donc pas la peine que je revienne dessus. -_-
Mais je sais que c'est idiot de stresser pour ça... Si je pouvais trouver le bouton stop, je sauterai dessus.
De ton côté ça viendra. Au moins, tu n'as pas le regret que je n'ai rien dit. (bon ok j'aurais pu en parler plus tôt mais c'est compliqué quand ma mère est toujours persuadée que ça viendra plus tard...)
Enregistrer un commentaire